Repartie à la recherche d’un médecin traditionnel, je découvre un centre de «massage et manipulation», une sorte d’ostéopathie locale, chouette ! Malgré le fait que la personne qui m’accueille ne parle pas un mot d’anglais, j’en ressors toute contente avec un rdv pour le lendemain !

Ce même lendemain, j’arrive au centre, mais les soignants vu la veille ne sont pas là. Heureusement, j’avais demandé à l’accueil de l’hôtel de m’écrire un mot en birman expliquant ma demande. Malheureusement, à cause de l’affluence des patients, les soignants du jour me font comprendre qu’ils ont autre chose à faire…

Bon, ce n’est pas grave, rien n’arrive tout seul, je poursuis ma quête !

Nous découvrons un petit salon pratiquant le massage birman, un mélange de massage ayurvédique et de massage traditionnel chinois. J’hésite à parler de torture ou de bien-être, mais après quelques fous rires libérateurs et beaucoup d’expirations, nous arrivons à nous détendre.

Le massage consiste principalement à suivre les méridiens par des points de pression (très) profonds, et à étirer les muscles, articulations, juste avant que ça casse !

Les masseurs mettent toute leur bonne volonté en utilisant les mains, les pieds, les coudes,… pour créer moultes prises de judoka !

Ce fut au final un grand plaisir et une approche intéressante à découvrir.

Et surtout, quel bien-être en sortant !

Nous aurons même droit à notre photo (encadrée) sur le mur avec le maître avec qui nous avons sympathisé. 🙏